« J’ai testé l’écriture positive avec Florence Servan-Schreiber »

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Mon échange avec Caroline Goullioud sur les bienfaits de l’écriture et comment s’y mettre. Et surtout un exercice applicable tout de suite !

 » En écrivant, on se soigne, on s’allège, on se transforme, on s’amuse. Mais, malgré la tentation, plusieurs raisons font que nous n’osons pas… Voici comment y remédier et se lancer.

Ecrire pour vivre mieux. Le fait est établi par plusieurs études : l’écriture a des effets bénéfiques sur la santé morale et physique. Journal intime, fiction, carnets de route… Qu’importe la tournure pourvu que soient transcrits, sur un cahier ou notre ordinateur, un peu du bavardage incessant qui nous habite, commente, rit sous cape ou rumine, souffre ou s’enthousiasme, refait l’histoire, des plans sur la comète et formule des idées lumineuses mais volatiles. Si les programmes de développement personnel incluent quasi tous des exercices d’écriture dans leur méthode, c’est pour donner à notre « auteur intérieur », selon l’expression de Florence Servan-Schreiber,* un espace où se construire et se libérer. Le succès des ateliers d’écriture montrent que nous sommes de plus en plus nombreux à se prendre au jeu de la plus gratifiante – même quand elle est douloureuse – thérapeutique de bien-être. Qui mieux que la spécialiste de la psychologie positive, Florence Servan-Schreiber, auteure et animatrice d’un atelier d’écriture elle-même, pour nous servir de guide ?

 

Qu’est-ce qui nous empêche d’écrire même quand on en rêve ?

Florence Servan-Schreiber : Il s’avère que le plus grand frein à l’écriture, c’est notre expérience scolaire ! Si nous avions de mauvaises notes en orthographe ou en dissertation, nous avons été stigmatisés par nos professeurs qui ont décrétés que nous n’en étions pas capables. Cela a été mon cas ! Pourtant, écrire est devenu mon métier et j’en retire tous les plaisirs : l’écriture me permet de me retrouver, de mieux me connaître, de me relier aux autres, de m’amuser, de me défouler, de raconter et de transmettre. Parce qu’elle nous sert à tout cela, l’écriture nous fait du bien. Alors, avant de se dire que ce n’est pas pour nous, il faut, si on en a envie, réessayer. Ainsi, et seulement ainsi, on saura si écrire nous convient.

Comment s’en tirer face à l’angoisse de la feuille blanche ?

La suite de l’article sur le site Femme actuelle

L’atelier d’écriture de Florence Servan-Schreiber

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Devenez animateur.trice d’ateliers de psychologie positive
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