
On a tous tendance à remettre certaines choses à plus tard. Ce n’est pas grave ! Sachez tout sur cette Journée de la procrastination, créée très sérieusement il y a cinq ans.
Un article de Flora Genoux pour le Parisien.
« Je suis la reine de la procrastination. » « Je pourrais remporter une médaille. » « Et si j’allais en fac de procrastination, je pourrais obtenir mon diplôme ? » Voilà une belle récompense pour ces distraits tous azimuts qui égrènent leurs papillonnements sur Twitter : c’est, aujourd’hui, la Journée internationale de la procrastination.
L’événement, très sérieux, a été lancé il y a cinq ans en France par David d’Equainville, auteur du « Manifeste du 25 mars, contre la tyrannie de l’hyper-urgence » (1). A l’époque, le mot, quelque peu barbare, ne faisait pas partie de notre vocabulaire. « Mais qu’on l’utilise ou pas, on est tous concernés, procrastiner c’est remettre à plus tard », remarque cet éditeur qui invite à oublier classement de factures, e-mails au fournisseur ou tri de la commode… jusqu’à demain.
Pourquoi on procrastine ?
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